L’essence mystique et juive de la corruption

Banques / Finance / Assurance Ésotérisme Histoire

Veuillez d’abord lire la partie 1 en cliquant ici

Au sommet du triangle, deux pommes pourries – un cartel bancaire international et une mafia sioniste internationale – se situent au-dessus des lois. Ces deux mouvements, ou groupes, ont institutionnalisé la corruption pour leur propre compte, c’est-à-dire pour cacher d’un côté leurs crimes sans vergogne et de l’autre leur rôle dans un vaste conflit indentitaire, non seulement en tant qu’ingénieurs et décideurs mais aussi en tant que profiteurs :

  1. Les pouvoirs politiques se voient de plus en plus centralisés aux niveaux national et supranational, sous la coupe d’un système capitaliste dirigé par des banquiers qui tirent avantage de – ou profitent de – conflits ridicules (exemple : les rivalités mimétiques identitaires), et ce dans le but premier que les gens oublient qu’ils sont esclaves de la dette.
  2. Le monde occidental est entièrement sous influence judéo-sioniste aux niveaux national et supranational ; on pousse les goyim de tout l’Occident à s’affronter entre eux sans aucune raison valable, si ce n’est pour détourner leur attention des crimes des Juifs.

Nous sommes ici face à de la véritable mauvaise graine, capable de réduire des gens au silence et d’abolir tout principe de transparence dans le choix des orientations politiques :

  1. (((Paul Krugman))) dit un jour à Bernard Liaetar : « Ne touchez jamais au système monétaire. » En substance, il est interdit de critiquer l’usure, et d’autant plus interdit de négocier avec le cartel des banques des règlements internationaux. La politique, c’est eux qui la font. La guerre ? C’est à eux que ça profite. Bref, la marge de manœuvre est assez restreinte pour qui voudrait résoudre le triple problème de la dette, de l’usure et de l’esclavage salarial.
  2. Le Pouvoir juif est le pouvoir de faire taire la critique du Pouvoir juif. Tout goy d’Europe de l’ouest le sait bien. Politiquement, cet état de fait rend impossible pour tout gouvernement des États-Unis ou d’Europe de l’ouest de dénoncer le lobby juif toxique et belliqueux.

D’aucuns avancent que le but ultime de ces deux mouvements est une dictature communiste mondiale. Cette idée est plausible. Après tout, le capitalisme et le communisme mènent à la même chose : le contrôle totalitaire, via le contrôle monopolistique et centralisé du système monétaire. Sans oublier que le socialisme est intrinsèquement messianique. C’est effectivement le messianisme juif dans sa forme frankiste qui est au cœur de la pensée socialiste, ce qui m’amène au point suivant : les deux phénomènes dont nous parlons sont également messianiques. Considérons les faits suivants :

  1. (((Lloyd Blankfein))), le patron de Goldman Sachs, a déclaré un jour qu’il faisait « le travail de Dieu ».
  2. Le « penseur » et ancien conseiller politique français (((Jacques Attali))) a prédit que le principe de souveraineté des États allait un jour être détruit, lors de ce qui constituera une transition chaotique et historique vers un « gouvernement mondial » ayant pour capitale Jérusalem.

Ceci n’est pas une coïncidence. Il est même désormais historiquement avéré que nos pommes pourries proviennent toutes deux d’un arbre dont les racines sont la littérature occulte et cabaliste datant de la période liant la fin du Moyen-Âge et le début de la Renaissance. Voici deux arguments pour étayer cette idée :

  1. Colin McKay révèle que la comptabilité en partie double – la baguette magique du prédateur capitaliste – trouve ses origines dans la Babylone antique, puis fut développée par des banquiers italiens de la Renaissance comme outil de dissimulation de l’usure. Selon lui, la Renaissance constitua un tournant critique de l’Histoire de l’Occident (et du reste du monde), car elle marqua le moment où cet Occident théoriquement chrétien embrassa avec enthousiasme les enseignements trompeurs et immoraux de la kabbale contre-nature (voir La Fable des abeilles – “Private Vices, Publick Benefits” de Mandeville, ou encore « l’éthique utilitariste » de Bentham). La légalisation de l’usure qui se produisit à cette époque sert encore de nos jours comme arme secrète d’une conquête économique planétaire / « utopie »…
  2. Youssef Hindi décrit en quoi le mouvement sioniste politique est réellement un projet juif messianique et kabbalistique renvoyant à la période située entre la fin du Moyen-Âge et le début de la Renaissance, au cours de laquelle fut utilisé un tour de passe-passe kabbalistique pour convaincre le rabbinat orthodoxe, puis l’Église, d’adopter le messianisme actif (qui est contraire aux enseignements de la Torah et du Talmud), et, ce faisant, de se soumettre à l’autorité spirituelle d’un sacerdoce invisible dont la principale préoccupation était le rapatriement des Juifs en Palestine. La légalisation du messianisme actif qui se produisit à cette époque sert encore de nos jours comme arme secrète d’une conquête sioniste planétaire / « utopie » à travers le récit du choc des civilisations.

Encore bien trop de gens pétris de bonnes intentions adhèrent, malgré l’omniprésente évidence du contraire, à l’idée complètement farfelue selon laquelle Adam Smith serait le père de l’économie moderne, et Theodore Herzl celui du sionisme moderne. Ceux qui croient cela ont un mal fou à reconnaitre pour ce qu’elle est vraiment la pathologie mentale très particulière du sine qua non d’un Nouvel Ordre mondial, cette force mystique juive invisible ayant, depuis son émergence à la fin de l’ère médiévale, peu à peu pris le contrôle du Temps, de l’Argent, de l’Église et, en dernière instance, de la Nation.

Cette idée fausse a de lourdes répercussions politiques et journalistiques. Aujourd’hui, les mouvements de droite identitaire ou de gauche radicale font preuve d’un cruel manque de spiritualité, une spiritualité dont ils auraient pourtant amplement besoin pour affronter celle de la mafia bancaire et sioniste internationale. À droite, de nombreux ethnonationalistes s’abaissent encore à faire ouvertement l’éloge de l’État juif et à vomir des idées racistes allant à l’encontre des enseignements du Christ, et tout cela au nom de… tenez-vous bien… « la Civilisation occidentale ». Tandis qu’à gauche, des journalistes hippies dans l’âme tentent de nous endormir avec leur pacifisme libéral bancal qui, sans qu’eux-mêmes ne le réalisent, répond précisément aux intérêts d’une élite mondialiste satanique. Au bout du compte, rien d’étonnant à ce que les mouvements radicaux contemporains ne constituent pas de menace sérieuse au statu quo en vigueur, car ils sont parfaitement incapables de former un front unifié animé par l’objectif crucial de porter les vérités de l’âme, de la société et de la nature à une intégration holistique de la connaissance.

J’ai l’intime conviction que les travaux de Youssef Hindi et Colin McKay, lus de manière concomitante, peuvent venir à bout de ce problème, en apportant au lecteur profane les outils conceptuels repoussant certaines croyances populaires à propos de la genèse du sommet du triangle. En effet, leurs travaux peuvent l’aider à transcender la traditionnelle division gauche-droite en offrant les moyens de repenser foncièrement une certaine idéologie et une certaine culture qui sont encore aujourd’hui le carburant de la corruption et, ce faisant, dissiper le mythe ridicule selon lequel nous ne serions pas dans ce foutoir économique et géopolitique si jamais nous avions pris le libéralisme politique et économique classique plus au sérieux.

Il ne peut y avoir de menace crédible contre ce système sans une compréhension solide de ce qui permit aux deux « pommes pourries » de germer et de pousser, ni sans s’allier par la compréhension commune que nous sommes au cœur d’une profonde crise spirituelle. Malheureusement notre perception de l’Histoire détermine nos comportements présents, et je crains que les divisions qui règnent à travers les milieux dissidents n’indiquent que nous sommes devenus moralement lâches. Toutefois je garde espoir car les trouvailles de McKay et Hindi sur la fin du Moyen-Âge et la Renaissance nous fournissent une perspective historique bien plus exhaustive, intellectuellement honnête et moralement courageuse que la majeure partie de ce que le journalisme alternatif a à offrir.

Cher lecteur, désormais vous comprenez mieux pourquoi Transnotitia s’affaire à traduire Youssef Hindi et Colin McKay, respectivement en anglais et en français.

Traduit par M. P. Le Bihan

Lien vers l’article original