À propos des éternels ennemis de la civilisation moderne

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Tout comme une pomme pourrie peut gâter tout un panier de pommes, l’humanité pourrait être détruite par un groupe d’humains parasitaire. De nos jours, la plus grande menace faite à la civilisation humaine provient de deux pommes pourries. En guise d’introduction, jetons un œil à ces deux pommes séparément.

D’un côté, j’ai nommé le système géopolitique, truqué pour pencher en faveur des intérêts sionistes. Par exemple, lorsque l’État hébreux commet toutes sortes de violations aux droits de l’homme, l’ONU s’exprime immanquablement selon des standards bien plus indulgents que lorsqu’il s’agit d’un autre État.

Le fait qu’Israël puisse complètement ignorer la Résolution 2334 du Conseil de sécurité de l’ONU sans devoir faire face à des répercussions en est un bon exemple.

Un autre exemple tout à fait pertinent est le nombre d’opérations israéliennes sous faux drapeau à travers le monde qui ne font jamais l’objet d’une enquête digne de ce nom par les autorités nationales et internationales.

Pour être honnête, il arrive aussi que les puissances occidentales se voient accorder occasionnellement un traitement de faveur similaire, mais y a-t-il là vraiment matière à s’étonner si l’on tient compte de l’hégémonie totale du lobby israélien sur les Affaires étrangères américaines et françaises ?

De l’autre côté, j’ai nommé le système monétaire, ce jeu de chaises musicales truqué par des experts-comptables et des organismes de régulation vendus aux banquiers usuriers et à leurs copains ultra-riches et… satanistes (les 0,000001%).

D’une certaine manière, le gouvernement américain s’abstient d’ouvrir des poursuites à l’encontre de banques trop-grosses-pour-tomber ou à l’encontre de leurs banquiers, et ce même lorsqu’ils avouent de leur propre initiative avoir blanchi de l’argent pour des cartels de drogue ou des terroristes.

Et pour empirer les choses, il n’existe pas de régulations internationales qui puissent empêcher les banques centrales de générer des bulles, et d’user des krashes auxquels elles aboutissent comme prétextes à l’instauration de réformes structurelles dévastatrices.

Il est clair que le cartel bancaire mondial décide en secret de ses propres règles ; son système judiciaire interne et privé l’emporte sur les systèmes judiciaires de pays souverains, ce qui explique pourquoi les autorités n’enquêtent jamais sur les activités illégales du cartel comme elles devraient le faire pour tout type de crime.

Ainsi, un lobby sioniste d’un côté (piloté par des Israéliens messianiques, des sayanim, et leurs Shabbat goyim), et un cartel bancaire international de l’autre, possèdent le pouvoir immense d’exercer un contrôle sur les gouvernements et les populations, tout en couvrant leurs crimes contre l’humanité massifs et impunis.

Ces deux forces sont au-dessus des lois, elles forment le sommet d’un conflit identitaire triangulaire. Elles ont en fait savamment élaboré leurs relations mondiales et leurs structures de manière à servir leurs propres intérêts infâmes.

Il nous faut garder en mémoire qu’elles avancent masquées et dissimulent leur véritable nature, en stipendiant des armadas de pseudo-intellectuels et de journalistes promouvant des théories fumeuses.

Comment en est-on arrivés là ? Comment une tribu trop-grosse-pour-tomber et un cartel de banques trop-grosses-pour-tomber sont-ils devenus impossibles à poursuivre ? Ont-ils des origines en commun ? Si oui, ne seraient-ils pas les deux faces d’une même médaille ?

Plus j’effectue de recherches sur ces questions, plus il devient clair pour moi que leurs origines sont en réalité directement liées ; ces deux objets d’étude semblent trouver leurs racines dans diverses pathologies de l’esprit, telles que la Kabbale juive et d’autres croyances ésotériques du genre.

Journalistes, l’heure est venue pour nous de bosser.

Traduit par M. P. Le Bihan

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